Petit déj en terrasse, en tête à tête :)
Puis nous prenons le bus pour l'hôpital Le Dantec où nous récupérons le courrier pour notre transfert vers un centre de santé plus proche de chez nous.
Nous en profitons pour nous balader dans le centre de Dakar et visiter le musée d'art africain. Nous y découvrons des recontistutions de cérémonies (funérailles, rites d'initiation des jeunes filles et des jeunes hommes, moissons), des masques, des portes de cases, des vases et paniers...
Puis nous nous dirigeons vers une rue bondée de commerçants en tous genres (alimentations, jeux de société, chaussures, vêtements, cartes de téléphone...) tout s'achète dans la rue ici, parfois même au travers de la fenêtre des voitures!!
Après une longue attente, notre bus arrive enfin...mais impossible d'y monter!
en grandes aventurières que nous sommes nous tentons une autre ligne, sans trop savoir comment nous trouverons notre correspondance. Au bout d'une heure de trajet, debout et serrées contre les autres passagers (en sueur mais à la peau douce) une dame nous indique qu'il faut descendre.
Nous voilà au milieu d'un grand rond point, pas d'arrêt de bus évident, et personne pour nous renseigner. On nous propose un "clando" (taxi clandestin, moyen de transport très utilisé ici), courageuses mais pas téméraires, nous refusons et avançons un peu à pied jusqu'à un petit resto.
Au menu, poulet frites et eau fraîche!! Le tout pour 3800 cfa (38 francs)
Requinquées nous pouvons rentrer à la maison en bus.
De retour à la maison nous discutons avec les filles et programmons nos sorties du week end, avec l'aide de Marie qui connait les bons plans ici.
Nos colocataires intermittents du spectacle nous offrent un petit concert privé pendant nous nous détendons ds le jardin.
Puis nous prenons le bus pour l'hôpital Le Dantec où nous récupérons le courrier pour notre transfert vers un centre de santé plus proche de chez nous.
Nous en profitons pour nous balader dans le centre de Dakar et visiter le musée d'art africain. Nous y découvrons des recontistutions de cérémonies (funérailles, rites d'initiation des jeunes filles et des jeunes hommes, moissons), des masques, des portes de cases, des vases et paniers...
Puis nous nous dirigeons vers une rue bondée de commerçants en tous genres (alimentations, jeux de société, chaussures, vêtements, cartes de téléphone...) tout s'achète dans la rue ici, parfois même au travers de la fenêtre des voitures!!
Après une longue attente, notre bus arrive enfin...mais impossible d'y monter!
en grandes aventurières que nous sommes nous tentons une autre ligne, sans trop savoir comment nous trouverons notre correspondance. Au bout d'une heure de trajet, debout et serrées contre les autres passagers (en sueur mais à la peau douce) une dame nous indique qu'il faut descendre.
Nous voilà au milieu d'un grand rond point, pas d'arrêt de bus évident, et personne pour nous renseigner. On nous propose un "clando" (taxi clandestin, moyen de transport très utilisé ici), courageuses mais pas téméraires, nous refusons et avançons un peu à pied jusqu'à un petit resto.
Au menu, poulet frites et eau fraîche!! Le tout pour 3800 cfa (38 francs)
Requinquées nous pouvons rentrer à la maison en bus.
De retour à la maison nous discutons avec les filles et programmons nos sorties du week end, avec l'aide de Marie qui connait les bons plans ici.
Nos colocataires intermittents du spectacle nous offrent un petit concert privé pendant nous nous détendons ds le jardin.